Quelle plus belle thématique pour ouvrir ce blog que… l’AMOUR ! Un sujet universel qui nous chavire, nous inspire ; un mot qui a un sens et une portée différents pour chacun-e ; source de joie et de peine. Un sentiment qui fait couler beaucoup d’encre, notamment dans mes propres romans. Il est complexe d’aimer…
Novembre est le mois du congrès de « L’Amour irrésistible », organisé par Maritzabel et Olivier. Je l’ai suivi en 2021. Parmi les intervenant-e-s, il y avait Issâ Padovani, une personne que je trouve extrêmement inspirante et qui ouvre des perspectives souvent inattendues.
Cet article se base sur une partie de ses réflexions.
OÙ TROUVER UN COMPAGNON DE JEU POUR JOUER AU JEU DE L’AMOUR ?
Avant de débuter le jeu, pour s’assurer que celui-ci se passe dans la joie et non la souffrance (sinon ce n’est plus un jeu), il convient de vérifier « l’état » des joueurs. À commencer par soi-même !
Partons en exploration… lorsque je vais vers quelqu’un, est-ce que j’y vais poussée par ma solitude ? Affamée d’amour ? Est-ce que je cherche que l’autre me complète, réponde à mes attentes ? Me donne une meilleure image de moi ? Rehausse mon bien-être ?
Si je réponds « oui » à une de ces questions, c’est que je ne suis pas dans ma joie.
Cette joie – qui est le pré-requis pour jouer au jeu de l’amour – vient de notre complétude, selon Issâ Padovani :
Si je me sens seule, je risque de m’agripper à l’autre.
Si j’ai faim, je ne peux partager avec l’autre une nourriture que je n’ai pas.
Si je ne suis dans la joie qu’avec l’autre, je me mets en danger.
Si je suis un mendiant de l’amour, je ne reçois que des miettes.
Si je pense que seul l’autre me complètera, j’aurai toujours peur que cet être disparaisse.
Or, si l’on va vers l’autre depuis notre propre complétude, on peut lui proposer de jouer avec nous, d’égal à égal, le jeu de l’amour. Avec légèreté, avec liberté. Avec toute notre vulnérabilité. Dans l’acceptation pleine et entière de tout ce que nous sommes. Et l’on attirera les personnes que l’on manifeste à l’intérieur de soi, afin que chaque joie cumulée donne encore plus de joie.
Cette complétude nécessite un travail sur soi, d’aller voir ses ombres, ses peurs. De se révéler à soi, d’asseoir son identité. Or, il n’est pas évident de le faire toute seule, de son côté.
Je vous propose une série d’ateliers d’écriture créative : « Toucher la femme que je veux être en explorant les facettes de mon féminin ».
Chaque atelier aborde une thématique qui vous permettra d’explorer une partie de vous-mêmes et de ré-écrire, pas à pas, votre histoire personnelle. Grâce à l’art-thérapie et à l’écriture, vous pourrez toucher votre essence et acquérir des ressources pour oser être la femme que vous aspirez à être. Et aimer avec liberté.
Illustration: Antonio Canova, Amour et Psyché, Musée du Louvre
Comentarios